Ma 1ère expo.
à DUBAI !

François Tashdjian, parallèlement à ses études musicales a toujours aimé dessiner depuis son enfance. Il effectue sa première formation des arts plastiques à travers la bande dessinée, pendant deux ans (1988-1990) au centre Pablo Picasso à Montreuil-Sous-Bois (93).

Influencé par les techniques des Artistes-peintres Escher, Miro, Pollock, Klee, il se découvre à l'aquarelle et l'encre de chine tout en utilisant sa technique d'instrumentiste à vent, qui est peu utilisée dans le domaine de l'art plastique : c'est « la peinture par le souffle ». Deux, trois ans plus tard, afin de découvrir une autre forme d'expression, François Tashdjian est admis aux ateliers de l'école des beaux-arts de la ville de Paris (département « gravure »).

Viennent ensuite les expositions parisiennes, où deux de ses « œuvres graphiques » à l'encre de chine disparaissent… Cette amertume est vite passée quand il est sélectionné par le concours « les Hauts de Belleville » et figure à l'exposition des « Espoirs 94 ». A l'issue de ce concours, il est « repéré » par Monsieur Patrick-Gilles Persin, Critique d’Art et Président du salon « Grands et Jeunes d'Aujourd'hui ».

Celui-ci lui proposera la même année d'exposer pour le 34ème anniversaire de ce salon, regroupant plus de 500 exposants à l'Espace Eiffel-Branly. Souvent sollicité pour des illustrations d'ouvrages ou de pochettes C.D., l'artiste reste toutefois discret sur l'exposition de ses oeuvres.

François Tashdjian compte Aujourd’hui une centaine d’œuvres à son actif, et mêle quand il le peut : « l’art pictural » à celui de la création musicale…

Voici les mouvements ou influences majeurs

que l’on peut associer à mon travail :

1. Abstraction lyrique

• Mon usage de l’encre de Chine, de l’aquarelle, et ma technique de « peinture par le souffle » relèvent d’un geste spontané, émotionnel et expressif.
• Cette approche peut rappeler les artistes de l’abstraction lyrique comme, Zao Wou-Ki ou Georges Mathieu, où l’énergie du trait et du souffle prime sur la forme figurative.

2. Surréalisme poétique ou subconscient visuel

• Mon travail évoque des formes semi-figuratives, oniriques ou symboliques, souvent issues d’un imaginaire intérieur, ce qui fait écho au surréalisme ou à l’art brut poétique.
• J’explore des thèmes liés à la mémoire, à l’inconscient, à la rêverie, ce qui rapproche ma démarche proche de Joan Miró ou Paul Klee.

3. Art gestuel et tachisme

• Dans certaines de mes œuvres, le travail du geste, de la coulure, du souffle, ou de la tâche évoque clairement des procédés liés au tachisme (forme européenne de l’Action painting) ou à l’expressionnisme abstrait, mais également aux gestes enfantins. On y trouve aussi des parallèles avec Jackson Pollock ou Henri Michaux (pour la dimension corporelle et intérieure).

Synthèse personnelle :

Plutôt que de m’enfermer dans un mouvement, je compose un langage pictural hybride, fait de :
• symboles personnels,
• gestes intuitifs et parfois enfantin,
• contrastes d’encre et de lumière,
• et une volonté de “souffler la peinture” - littéralement et symboliquement - comme une extension de la pratique de mon instrument (flûte traversière).

Il n’est donc ni tout à fait abstrait, ni figuratif, mais propose une forme d’expression poétique libre, nourrie de musique, de souffle, et d’énergie intérieure.

En résumé :

Mon travail pictural se situe à la croisée de l’abstraction lyrique, du surréalisme poétique et du geste contemporain, dans une démarche profondément personnelle et expérimentale.